Pensée de chercheur...

En rangeant ma préparation de colle d'anglais pour demain dans mon sac, je me rappelle la précédente...

J'y évoquais, dans mon commentaire, outre la nouvelle Couver le Cobra, une des meilleurs citations que je connaisse :

Un remède, et un antidote lorsque le remède se transforme en poison... C'est logique... et surtout, très sage !

Tiré d'un livre que j'ai dû lire il y a pas loin de six ans, et que j'avais beaucoup aimé, mais dont je suis incapable de me rappeler le titre (et pourtant la citation est restée, comme quoi)... C'était de l'heroic fantasy, si courante actuellement et rarement, rarement géniale (à part Tolkien et la superbe Croisée des Mondes de Philip Pullman, j'ai rarement vu du vraiment bon bouquin... du pas mal oui, mais sans plus. Bon, j'arrête de digresser) , reposant sur les runes et les Oghams... En l'occurrence, il était question d'un livre très riche en sagesse, mais très dangereux entre de mauvaises mains, et d'une société destinée à n'intervenir que si on tentait d'en faire mauvais usage...

Mais même sortie de son contexte, c'est intéressant cette citation. C'est bien, en effet, pour les chercheurs, de trouver quelque chose et de le rendre public... Mais il serait encore mieux de comprendre qu'il serait moins nocif pour beaucoup de choses de ne pas lâcher du potentiellement dangereux sans prévoir quoi que ce soit pour le maîtriser.